Maccheroni, poivrons, seiche, pois chiches & tomates

Pour 4 personnes
320 g de maccheroni
100 g de pois chiches
100 g de blanc de seiche
200 g de purée de tomates
2 poivrons
1 gousse d’ail
1/4 de citron confit
1 pincée de cumin
Coriandre fraîche
Huile d’olive
Sel
Poivre
Mettre les pois chiches à tremper pendant 12 heures. Les rincer à l’eau froide. Les faire cuire jusqu’au moment où ils seront tendres. Saler une fois la cuisson terminée.
Cuire les poivrons durant 40 minutes dans un four à 150°. Enlever la peau et les graines lorsqu’ils sont encore tièdes. Les couper en morceaux.
Faire revenir l’ail haché dans un peu d’huile d’olive, incorporer la purée de tomates, les poivrons rôtis et les pois chiches. Poursuivre la cuisson à feu doux pendant 10 minutes. Ajouter le citron confit coupé en dés, la coriandre ciselée et la pincée de cumin.
Saisir le blanc de seiche dans un peu d’huile d’olive durant une dizaine de minutes. Le couper en morceaux.
Cuire les maccheroni dans une grande quantité d’eau salée et bouillante. Les égoutter al dente avant de les ajouter à la sauce tomates-poivrons-pois chiches-coriandre-citron-cumin. Mélanger après avoir incorporé les morceaux de blanc de seiche.
Servir.
Une assiette ensoleillée, les ultimes pépites de la fin de l’été qui s’annonce. Des tomates et poivrons étincelants de saveurs et de couleurs, qui chantent haut et fort les vertus de la Méditerranée. Une assiette gourmande et joyeuse.
Un vin italien des Marches, celui de l’azienda agricola Pantaleone, entourée de 50 hectares dont 19 de vignes, situés à 450 m d’altitude, à 5 km d’Ascoli Piceno. On a choisi la cuvée Onirocep, 100 % pecorino, un cépage autochtone, longtemps délaissé en raison d’un faible rendement mais qui a retrouvé vie auprès des vignerons italiens il y a une dizaine d’années. Le vin a une couleur jaune paille avec des notes d’agrumes et une belle minéralité.
« La boutique est un trésor : elle contient exactement ce qu’il cherche et beaucoup plus, des choses qu’il n’a jamais vues dans les autres vitrines. Ils ont même du vrai pain : rond, long, en couronnes et même le pain spécial qu’on fourre de soffritto dégoulinant de sauce tomate qui déborde quand on mord dedans. Comme dit le proverbe de Catanzaro : « Avec le morzeddhu, tu manges, tu bois, et tu te débarbouilles ». José Luis Sampedro – Le sourire étrusque – Editions Métailié