#321 – Penne, poulpe, courgettes, pois chiches, chapelure citron-piment

Penne, poulpe, courgettes, pois chiches, chapelure citron-piment

Pour 4 personnes 

320 g de penne

1 poulpe (400 g environ)

2 courgettes

2 carottes

1 fenouil

1 oignon

3 feuilles de laurier

150 g de pois chiches (en conserve)

1 citron

1/2 piment frais

Pain dur

Vinaigre de vin

Huile d’olive

Sel

Poivre

Une fois nettoyé, mettre le poulpe dans un grand volume d’eau froide avec deux carottes, un bulbe de fenouil, un oignon, coupés en morceaux, quelques grains de poivre noir, trois feuilles de laurier et 2 cuillères à soupe de vinaigre de vin. Porter à ébullition, arrêter le feu aux premiers frémissements. Attendre que l’eau soit tiède pour retirer le poulpe et le couper en morceaux.

Saisir à feu vif les courgettes coupées en cubes dans un peu d’huile. Au bout de 2 à 3 minutes, baisser l’intensité de la flamme, ajouter l’équivalent d’une tasse à café d’eau tiède. Laisser infuser à feu doux pendant 10 minutes. Les cubes de courgettes doivent rester croquants.

Mettre les pois chiches et leur jus à chauffer à feu doux dans une casserole. Ajouter un filet d’huile d’olive. Saler, poivrer.

Prélever la peau du citron, la ciseler finement.

Réunir dans une poêle profonde les morceaux de poulpe, les cubes de courgettes et les pois chiches. Maintenir sur feu doux.

Couper le pain dur en morceaux, les mixer avec la peau du citron et le demi piment ciselé. La chapelure ne doit pas être trop fine.

Cuire les penne dans un grand volume d’eau salée et bouillante. Les égoutter al dente 5 minutes avant le temps indiqué sur le paquet et les incorporer aux cubes de courgettes, aux morceaux de poulpe et aux pois chiches. Faire sauter l’ensemble pendant 2 à 3 minutes sur feu doux. 

Au dernier moment, ajouter sur chaque assiette la chapelure citron-piment.

Servir.

L’été sous les oliviers 5

« Un jour qu’ils étaient en train de déjeuner, mon père s’est fâché au sujet du riz qui n’était pas bien cuit et il a jeté le plat par la fenêtre. Nous, les enfants, nous jouions dans le jardin quand nous avons vu les grains de riz voler, puis le plat se fracasser contre un arbre. Nous regardions vers la fenêtre d’un air ahuri quand la réponse de Razieh Banou (l’épouse) est arrivée. Un sac blanc est passé par la fenêtre. C’était la nappe du déjeuner qui s’est ouverte en plein vol, laissant s’échapper les assiettes, les verres et les plats qui se sont éparpillés sur le sol. Mon père, époustouflé, fixait l’espace laissé vide par la nappe du déjeuner. Quand je lui ai demandé ce qui s’était passé, Razieh Banou m’a répondu : « Rien ! Aujourd’hui, ton père a décidé de manger sur l’herbe ! ». Zoyâ Pirzâd – Comme tous les après-midi – Editions Zulma

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